Recherche et plaidoyer
Reconnaître l’habitat mobile comme un mode de vie à part entière
Depuis sa création, l’ANGVC défend la reconnaissance du mode de vie en habitat mobile comme une composante légitime du droit au logement et de la citoyenneté.
Nos travaux de recherche et nos actions de plaidoyer visent à faire évoluer les politiques publiques pour que la mobilité choisie ou contrainte ne soit plus un facteur d’exclusion.
Une nouvelle étude nationale en 2025
En 2025, l’ANGVC lance une nouvelle étude nationale sur la place de l’habitat mobile dans les politiques d’aménagement du territoire.
Plus de dix ans après notre premier travail d’enquête (2012), cette étude actualise les données et questionne la manière dont les collectivités intègrent — ou écartent encore — l’habitat mobile dans leurs documents d’urbanisme (PLU, SCOT, schémas départementaux).
Objectifs :
-
Identifier les freins et bonnes pratiques des collectivités locales ;
-
Produire des indicateurs actualisés sur la prise en compte de l’habitat mobile ;
-
Élaborer des outils de plaidoyer à destination des élus, institutions et associations ;
-
Promouvoir la reconnaissance juridique et politique du droit à la mobilité résidentielle.
Cette recherche est menée en partenariat avec la Clinique juridique de Sciences Po Paris et le chercheur Aurélien Bouayad.
Une recherche au service du changement
L’habitat mobile n’est pas une exception à tolérer : c’est une manière d’habiter et de faire société, souvent héritée, parfois choisie, mais toujours digne de reconnaissance.
À travers ce travail, l’ANGVC poursuit un objectif simple et ambitieux :
faire du droit à l’habitat mobile un pilier de la justice sociale et territoriale.
.